Les 5 pires séries Netflix Original que tu ne veux pas regarder

On n’a qu’à penser à des séries comme Stranger Things, American Vandal, Black Mirror ou encore Mindhunter – la liste pourrait être si longue! – pour constater que Netflix sait créer du contenu de qualité des plus divertissants pour sa plateforme. Toutefois, personne n’est parfait et on ne peut pas tout réussir tout le temps. Autant Netflix a su réaliser des chefs-d’oeuvre télévisuels, autant il a aussi créé quelques navets. Évidemment, tous les goûts sont dans la nature, mais afin de t’éviter une très possible déception et te faire gagner du temps, voici quelques séries Netflix Original qu’on ne te conseille pas du tout de regarder.

Les réseaux sociaux prennent beaucoup de place dans nos vies, et les influenceurs et Youtubeurs se font de plus en plus présents. Il pourrait donc sembler logique qu’une série mettant en vedette une Youtubeuse soit une excellente idée, mais malheureusement, ce n’est pas le cas ici. À moins que tu aimes vraiment beaucoup le style ridicule, étrange et très awkward à la Napoleon Dynamite, cette série racontant la vie de Miranda Sings, une jeune femme convaincue d’être née pour être célèbre et qui croit dur comme fer à son talent, mais qui ne cesse d’échouer lamentablement, te laissera probablement très perplexe.

Alors que suivre la vie familiale hollywoodienne, au jour le jour, d’un humoriste pourrait sembler drôle et divertissant, ce n’est pas vraiment le cas avec Real Rob, une série mettant en vedette Rob Schneider, et qui est inspirée de sa vie. La pertinence même d’une telle série est remise complètement en doute, ici. À part voir l’humoriste et acteur étaler sa fortune et montrer sa femme – et surtout les seins de sa femme -, il ne s’y passe pas grand-chose. Peut-être un fan fini de Rob Schneider pourrait arriver à apprécier cette série, mais sinon, ne perd pas ton temps.

Les télé-réalités sont certes très à la mode depuis bon nombre d’années, mais souvent, l’intérêt vient du fait qu’on suit le quotidien d’une vedette qu’on aime ou, du moins, qu’on connaît. Dans Chasing Cameron, toutefois, on suit le jeune influenceur Cameron Dallas qui, on va se le dire, est bien loin d’avoir le statut d’une Kardashian, mettons. Si on ajoute à cela le fait que la série se prend vraiment au sérieux alors que les jeunes vedettes qu’on y montre ne sont en fait que des adolescents qui espèrent sûrement juste faire augmenter leur nombre d’abonnés sur leurs réseaux sociaux grâce à cette visibilité, on obtient un résultat des plus risibles.

Tu as peut-être vu la série culte Full House, qui mettait en vedette, en alternance, les jumelles Olsen? Eh bien, les fans de cette série étaient très heureux d’apprendre, en 2016, qu’elle renaîtrait grâce à Fuller House. Toutefois, ils ont vite déchanté, et on les comprend! Malgré que la série en soit présentement à 4 saisons – on se demande bien comment ils ont pu se rendre jusque-là -, Fuller House n’est pas une suite de Full House, mais plutôt une piètre parodie qui n’a pas su retrouver l’essence de la série originale. Si tu as vraiment tripé sur Full House, peut-être y trouveras-tu une belle nostalgie qui te la rendra plus sympathique, mais sinon, à éviter!

Si tu aimes les comédies qui ne vont pas plus loin que le premier degré et les personnages sans profondeur, il est possible que Disjointed te plaise, mais si le style sitcom avec les rires des spectateurs en fond – l’émission est tournée devant public – n’est pas le genre de truc qui t’attire, tu vas vite en avoir assez. Peut-être que la série est meilleure lorsque tu la regardes en n’étant pas à jeun, mais si tu cherches une vraie bonne série sur la marijuana, plus intelligente et beaucoup plus pertinente, je te conseille d’opter plutôt pour Weeds. Il s’agit de deux séries totalement différentes qui se comparent peut-être mal, mais j’ai personnellement une nette préférence pour Weeds!

Tu peux toujours te risquer à regarder ces séries Netflix Original; peut-être que tu les aimeras, mais sinon, tu ne pourras pas dire qu’on ne t’a pas prévenu!

Crédit photo de couverture: Marcelo Dias | Pexels