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Chirurgie au laser : plus de peur que de mal

Par Étienne Ashford – le dans Santé

J’ai toujours été en santé. Adolescent, je jouais au football, je m’entraînais tout en étant assidu à mes études, sans jamais avoir eu de problèmes. Puis, en 2008, bam! Diagnostic : kératocônes.

J’allais vite apprendre à apprivoiser ce nouveau mot dans mon vocabulaire.

Le kératocône, une maladie dégénérative qui apparaît vers l’adolescence par une diminution instantanée de la vision. Du frottement d’yeux à la génétique, les causes sont nébuleuses. Bref, personne n’est vraiment certain. Vision dédoublée, astigmatisme, fatigue oculaire, un gros cocktail de symptômes déplaisants; et oui, j’ai été l’élu d’une condition affectant 1 Canadien sur 1000 !

Une condition que mon Word souligne, qu’il ne reconnaît même pas.

On peut dire que j’ai été chanceux dans ma malchance parce mon ophtalmologiste, Michel Pop (LE Michel Pop des cliniques Michel Pop, rien de moins), pratiquait une nouvelle procédure depuis peu. Le hic, la maladie est irréversible. Elle risque même d’empirer et je dois porter des verres de contact rigides toute ma vie pour la contrôler. Tu peux imaginer ma panique quand j’ai réalisé que je n’aurais pas le choix de passer sous le bistouri parce que, comme beaucoup de monde, me faire jouer dans les yeux, c’est assez loin sur ma « to do list ».

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Ma première fois

La première fois que je suis allé à la clinique Michel Pop, c’était pour passer une batterie de tests (pression de mes yeux, topographie, etc.) en vue de mon opération. J’ai mis les pieds dans la place, stressé juste à penser à toutes les conséquences possibles d’une telle procédure, une gracieuseté de mes recherches Google.

Suite à la rencontre préopératoire, j’avais déjà une meilleure compréhension de toute la procédure et des risques réels. C’était pas si mal finalement. Plus compliqué qu’une simple correction au laser, mais j’étais nettement plus confiant, c’était crucial.

Jour décisif

Le stress dans le tapis et ma face de gars qui ne pensait jamais revoir la lumière du jour, je suis arrivé à la réception où on m’a accueilli comme un prince. Assis dans une salle d’attente spéciale, munie de chaises longues et d’une musique relaxante, ça n’a pas pris 15 minutes qu’on m’a appelé. 2 heures plus tard, c’est fini. That’s it?

Après tout ça, j’ai réalisé que la partie la plus désagréable était la durée de la convalescence (2 jours sans vision, chez moi). Je l’admets, la patience n’est pas une de mes vertus, mais 2 jours à devoir me débrouiller avec un sens en moins, c’est loin d’être évident. Mais cette intervention est la meilleure chose qui me soit arrivée. Avant l’opération, je n’étais pas conscient de la détérioration de ma vision, elle faisait partie de mon quotidien. La vue a un impact sur toutes les facettes de notre vie. Les seules craintes que j’avais face aux chirurgies oculaires étaient dues à mon ignorance.

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Extra

Ma 2e intervention chez Michel Pop, en 2015, était au laser : 15 minutes, un petit laser chaud, aucune douleur et même une petite odeur de bacon en prime! Me rendre à la clinique a pris plus de temps que l’intervention.

Alors si tu avais des doutes concernant une chirurgie au laser, JUST DO IT. Ce sera probablement la meilleure décision de ta vie, believe me.

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